Dame De Onze Heurs parce que ma vie est ephemère

Mon caractère... Comment vous décrire? Je ne suis pas un cheval compliqué qui ne se satisfait que de ce qu'il n'a pas .Je ne suis pas non plus un fou qui tentera de vous détruire dès que je vous apercevrais. Vous visualisez. Pas vraiment? Bon je continue. Je suis plutôt amicale il me semble. Enfin aimable et poli dû moins! Après, bien entendu, tout dépend de vous, je ne serais pas gentille avec une personne qui ne l'est pas. On peut également dire de moi que je suis sans gêne, enfin, ce n'est pas totalement vrai je connais quand même mes limites et je sais quand je dois arrêter. Je veille précieusement sur tous ceux qui me sont chères. Je les défendrais dans la limite du possible. Je pourrais vous mentir et vous dire que je les aiderai quoi qu'il en coûte,mais je sais pertinemment que, non pas que je le veuille, je ne pourrai pas le faire. Dites que c'est de la lâcheté moi je définis ça par instinct de survie.Je ne défends pas souvent les causes perdues, as part quand la folie de l'amour mis incite. Vous cernez as peu près. En quelque mot je suis votre ami, si vous êtes le mien. Par moments, Quand l'humeur et avec moi je suis fourbe. J'aime chicaner le monde.

Un cheval classique... Enfin il n'y a rien de classique sur aucun cheval... Alors,disons un cheval assez petit environ 1m60 1m65. Je ne suis pas particulièrement musclé. Je n'ai pas de pattes de batailles ou de course. J'ai une tètent des dents des sabots des pattes et tout le tralala.

Maintenant comment imaginé vous ma robe? Noir, pour un cheval méchant? ,Blanc pour un petit cheval heureux? Le juste milieu des deux est ma couleur. Je suis gris gris un peu comme la roche. Mais je ne suis pas dur comme elle. Heureusement! Imaginé un peu! Mes crins virent as un marron ni trop clair ni trop foncé. Les poile de mes oreilles sont de la même couleur Mon sabot eut son noir... le plus courant. et les sabots noirs. Auriez-vous été surpris si j'avais dit rose? Sans doute. Mon corps est taché de marrons tel celui de mes crins. J'ai cinq taches. L'une entours mon oeil et s'amincit au fur et as mesure qu'elle descend. Elle se finit au bout de ma joue, Pas avant pas après... Il y en a une autre sur le bout de mon museau. Une troisième au bas de mon postérieur gauche. Plus communément appeler Balzane .Et enfin la dernière de cette couleur est sur ma croupe, elle tient ma croupe en entier et elle est criblée de faibles points blancs, comme la neige si rare qui tombe dans les montagnes. Maintenant souvenez-vous, de la première tache dont je vous ai parler. Celle qui entoure mon oeil et bien dupliquez-la blanchissez là et rétrécissez là de quelque centimètre puis collé là sur mon oeil et vous obtiendrez exactement la même chose que ce qui est sur ma tête passons aux marrons qui entourent mes naseaux. Une fine lamelle blanche entours mon naseau gauche en plus du marrons. Une deuxième balzane blanche, plus petite, chevauchant la première. Voilà vous discerner as peu après mes traits et mes couleurs maintenant. Oui? Tans mieux car maintenant vous pouvez me reconnaitre.

Que faite vous encore là? !Vous voulez connaitre mon histoire. Aimez-vous tans que ça mes récits! ?*Soupire Bien alors puisque voulez savoir... Mon histoire commence comme toute les petites histoires joyeuses. Une jument hennit seule dans un champ. Seul... Comme beaucoup de jument parce que aucun cheval n'est foutu de rester quand il y a la souffrance. Il préférait aller menacer des poulains et clamer qu'ils sont forts et que les juments,poulains et autres chevaux ne sont que des faiblard! ?Idiots! Incapable qui a un enfant mais qui n'est pas père! la jument hennit pousse et soufre. Puis tout cela finit. Il y a une petite créature visqueuse et difforme qui s'agite au sol. Et c'est là que l'on sait si la personne qui nous ont enfantés sera une mère une morte ou un souvenir que l'on a vu qu'une fois... Moi j'ai eu une mère. Une belle-mère pie alezane... Elle était petite mais s'occupa de moi à merveille! Je fus heureux avec elle. Puis je deviens grand, je dus dire Au revoir à la jument que j'aimerais toujours!Et je la vis mourir as mes côtés. Elle aussi était malade, comme moi. Alors je savais déjà qu'elle partirait tôt. Je l'aimai toujours,mais je savais alors mon deuil ne fut que mieux. Je vécus sur mon île seule, changeant d'amour régulièrement. Sans aucun ami de date. Ça ne me manquait pas vraiment. Un beau jour ou plutôt une nuit je rencontre une belle jument, Alezane. Je l'aimai et l'aimerai encore longtemps. Une nuit nous discutions c'était une belle lui calme. Ha pourquoi je ne me suis pas douté! ?C'était une nuit Trop calme! Ce qui s'est passé est simple, Un ours l'a attaqué et moi... Moi je n'ai pas pu l'aider. Quand j'ai trouvé la force et le courage d'attaquer ce monstre il était trop tard... Depuis longtemps. Elle était morte en un coup de pattes. Mordant frappant coup par coup. Je sentais le sang,mais je ne savais même pas as qu'il appartenait...je n'entendais rien... Seulement des hennissements horribles sans doute les miens... Je vous compterais volontiers la suite mais je ne sais plus...je ne peux plus... Je me souviens seulement que je me suis entier mal et que je me suis réveillé plus tard sans rien autour de moi... Rie que des souvenirs et du rouge. Je me relevai difficilement. Et marchât en cherchant ma compagne j'espérai la voir, la trouver. Idiot que je peux être! Je trouvai son corps. Il ne saignait que très peu. Je me couchai as ses côtés et pleurasse... Je pleurais parce que je ne savais pas quoi faire... J'avais perdu beaucoup... Mes proches et je m'étais perdu moi-même...Triste au fond de mon âme. Affaiblis encore plus en voyant ma douce...je me levai d'un bon les dents serrées. Et parti au galop aussi vite que possible pour fuir Ha je les entends les voix les remords il me suivent! Il me poursuit encore. J'ai fui pour oublier, mais ce n'était pas une bonne idée, ça ne faisait que me rappeler! Alors j'ai arrêté, je ne pleurais même plus, Toujours triste encore plus triste... Mais j'ai accepté, parce que moi je ne suis pas un cheval qui se reproche toujours ses fautes. Moi la mienne ma couté cher, elle en a payé le prix, mon aimée, Mais ça s'arrête là; Ressassé les événements ne m'aideront pas. Maintenant je m'éloigne rarement de la harde mais ne parle pas vraiment as ceux que je vois tous les jours.

(c) Suika