† Sur Le Chemin J'ai Trouvé Une Fleur, Noire † Lune

† Sur Le Chemin J'ai Trouvé Une Fleur, Noire †

Ϟ Shalimar entreprenait sa recherche. La jeunesse qu'elle est, elle aura le temps de trouver des indices sur elle. Cette quête peut être perdue d'avance, c'était dans son instinct, il fallait qu'elle sache, qui était-elle? Personne, ni même sa propre Mère ne pourrait le dire, malgré qu'elle la connaisse si bien. Elle cherche, fouillant les galets, un indice, peut être perdue, dans ces pierres froides. Ses sabots résonnaient sur les galet gelés, le Matin était à peine là, que la jument si peu matinale était déjà là, comme un cadavre traînant sa carcasse sur cette terre comme morte. L'ambiance était d'un froid mordant, pendant que Shalimar se traîner avec sa seconde âme les nuages recouvraient bientôt tout le ciel. Un ciel gris, pour autant pas de pluie ou de neige. Un ciel triste et silencieux. Le seul bruit qu'on entendait était celui d'un Coucou, venant des forêt lointaine, il était si résonnant qu'il résonnait dans ce vide, à une fréquence de dix secondes. Shalimar, la tête basse, sa longue crinière blanche glissante, sur le sol dure. Les yeux bleus perçant rivés vers le bas, ne regardant même pas là où elle marchait. Aïden lui aussi était silencieux et calme pour une fois, lui qui était souvent impulsif, et mécontent de ce monde. Ce silence de mort était le présage de sa présence. Quelques pauvres oiseaux chercher des cadavres à dévorer. Parmis les corbeaux, une était blanche comme la lumière, mais avait son âme noire. Shalimar n'étais ni une vivante, ni une morte, ni une morte-vivante. Malgré cette air morbide elle brillait, sans le vouloir. Elle continuait de marcher, sans même pensé. Enfaite elle rêvait. Ce silence masquait des souvenirs. Shalimar et Aïden communiquaient dans leur corps. Les deux âmes partagent des souvenirs. Shalimar étant possédée par Aïden qui lui montrait les souvenirs de ce lieu autrefois ne pouvais pas être totalement consciente, saignant légèrement des naseaux, le pouvoir l'épuisait mais l'aide de son frère était indispensable pour trouver les indices. Comme un esprit elle marcher, presque volante au dessus des galets. Puis heurta quelqu'un, qui? Elle n'était pas totalement consciente et s'épuisait, elle ne voulu pas voir qui s'était, elle restait plantée là. Attendant que la personne rebrousse chemin, certainement allait-elle le faire. La mer était agitée, le vent frais soufflait légèrement entre les oreilles. L'atmosphère était tendue.

♪Hors Sujet♪:

« Sur le chemin, j'ai trouvé une fleur, Noire. »
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RP Privéft. Shalimar
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La noire avançait. Qu’est-ce qui avait pu la pousser à se rendre ici ? Elle était déjà venue sur son île natale de nombreuses fois ces derniers temps. Elle n’avait aucun besoin d’y revenir, il était idiot pour elle de s’attacher ainsi à une île qui ne la reconnaît plus comme une native de cet endroit. Secouant sa crinière dans un geste agacé, elle se lance au petit trot dans la forêt d’Erion afin de sortir au plus vite. Elle ne souhait pas non plus croiser des chevaux de la Harde, pas la peine de les alarmer.

Depuis qu’elle était devenue la Reine, Lune n’était plus la bienvenue nul part. Depuis qu’elle était devenue une Vagabonde en fait. Etre libre se payait par une vie solitaire et dangereuse. À moins de faire partie d’un petit groupe de chevaux, les Vagabonds étaient livrés tous les jours à eux-mêmes, face au danger, aux prédateurs, à la faim et à la soif. Il fallait ne pas avoir peur de vivre ainsi pour être libre. Sans harde, sans règles, sans les autres. Parfois, Lune pensait à sa vie passée, aux moments où elle se couchait contre les flancs de Nemesis et de Nyx, quand elles partaient vers les ruisseaux pour jouer avec l’eau, quand elle courait après les oiseaux et les chiens de prairie. Avec nostalgie, elle se plongeait dans ses souvenirs et attendait quelques instants que tout se calme, que son esprit se ferme à ce passé qui ne lui appartenait plus et qui n’était plus le sien.
Elle bloque ses yeux bleu pâles sur un rapace qui plane au dessus des arbres, se reprend, et pars.

Arrivée dans la plaine, elle prend le galop, passant en trombe à côté de quelques chevaux de Nyx. Les équidés relèvent la tête, plaquent les oreilles contre le crâne, mais aucun ne bouge. La Reine est connue sur l’île et même si elle n’est guère aimée, ils savent tous qu’elle n’ébauche pas quelques plans pour prendre le pouvoir sur les terres. Ils savent également que Nyx place une confiance aveugle dans la jument aux crins d’argents. Alors ils se taisent et ne disent rien et la Reine, de son côté, ne reste jamais longtemps sur l’île.

Elle décide de passer par l’une des plages de l’île Nord pour rentrer. Son statut fait qu’elle n’a aucun besoin du Passeur pour changer d’île. Elle est Reine, elle connaît les Anciennes Voies, contrairement aux Dominants et aux Oracles. Il n’y a qu’elle, les Passeurs et les Chamans qui puissent se vanter d’avoir cette chance. Elle ne sait pas encore où va-t-elle aller, peut-être sur les ilots, peut-être sur une autre île. Allez savoir, la plupart du temps, elle débite la première formule qui lui passe par la tête et se retrouve sur une île aléatoire. Deae Lunae n’en a rien à faire, de savoir où est-ce qu’elle se trouve.

En arrivant sur une plage jonchée de galets, elle peut voir une jument blanche qui examine le sol. Elle reconnaît une des siennes, elle n’a pas son nom en tête pour le moment, mais cette jeune est une Vagabonde. La mer apporte une bise fraiche et le jour est encore endormi. Il est tôt, il fait froid, mais la Reine aime beaucoup ce temps. Elle est intriguée par le comportement de la jument et l’observe, silencieuse. Elle marche avec la tête dans les pierres, scrutant le sol et la jument noire est plus que curieuse. Pourquoi tout ces gestes, ces allures et cette… étrange sensation que la jument est absente ? La Reine attend et observe, puisque la Blanche se rapproche d’elle. La Noire attend, observe, réfléchit. Elle ne parle que très peu, troublant souvent les gens autours d’elle, mais elle sait beaucoup et apprend tout de vous en quelques regards et en quelques gestes. Cependant, la jeune qui avance de son pas absent n’est… pas tout à fait semblable aux autres. Lune la voit qui s’approche encore plus d’elle et quand le vent lui porte l’odeur de la jument son nom lui revient : Shalimar.

Ainsi donc, la voilà. Cela fait un moment qu’elle n’avait pas vu cette jument dans les îles. Elle avait finit par ne plus y penser, ayant d’autres choses à régler qu’un vagabond qui fait ce pour quoi il vit : être libre.
Elle l’observe, qui s’approche de plus en plus et se dit qu’elle va l’aborder et lui parler, comme beaucoup le font. Elle se redresse, campée sur ses quatre jambes et attend. Mais Blanche ne relève jamais la tête. Elle avance, fascinée par ce qu’elle semble voir et heurte la Reine en plein poitrail. Voilà qui est nouveau, comme approche envers sa Reine. Les yeux pastel de la Noire tombent sur la jument et elle perçoit un mince filet de sang qui s’écoule de ses naseaux. Que ce passe-t-il ici ?

La Reine attend, peut-être qu’elle relève la tête, peut-être qu’elle bouge, mais Blanche ne fait rien. Alors Lune abaisse son encolure jusqu’à ce que son regard croise celui de l’autre. Elle la fixe et une voix peu chaleureuse émane de son être.

« Que fais-tu ici ? Que t’arrive-t-il ? »

Lune avait déjà pensé à un groupe d’Habitants qui serait venu pour la lyncher ou la rouer de coups, mais Shalimar ne semble pas blessée. D’où vient ce sang alors ? Et cette absence, chez la jument ? Cette ambiance ne plait pas à celle qui s’appelait Deae Lunae et elle a besoin de comprendre ce qu’il se passe.

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As-tu assez Pajy ?

† Sur Le Chemin J'ai Trouvé Une Fleur, Noire †

Ϟ Shalimar était plongée dans cette Abysse, d'un bleu saphir. Il ne faisait ni Chaud, ni Froid. Chaque éléments avaient un ou mille souvenirs. C'était comme dans un rêve. Comme perdue dans un autre Monde. Pourtant elle savait bien que ce n'était qu'une illusion du Passé. Elle continuait son chemin dans ce passé perdu, lui aussi. Autour d'elle il n'y avait ni ciel, ni terre. Les oiseaux volaient entre les rayons d'un Soleil immergé. Et les Poissons nageaient entre les Nuages. Ce Monde avait l'air si merveilleux. Mais Aïden s'agité. Il n'arrivait plus à se concentrer à cause de l’intrus en face. Celle-ci avait d'ailleurs prononçait quelques mots. Mais personne ne l'avait entendu. C'est dans son Royaume, que Shalimar avait enfin trouvé quelqu'un. Ses yeux s'ouvrirent d'un coups comme si elle avait trouvé une lumière aveuglante. Elle remonta rapidement la tête complètement émerveillée. Quelqu'un avait entendu ses prières. Ses Prières qui lui semblaient perdues. Son Monde remplissait les Trois Âmes. Lune sa Reine, n'était pas comme les autres elle aussi. Shalimar était toujours dans son rêve. En face d'elle se tenait aussi Lune. Représentant la Liberté. Shalimar comprenait vite, elle chercher un Destin elle aussi peut être? Aïden s'énervait, il ne voulait pas qu'elle fasse confiance aux autres. Il coupa nette ce Monde.
Shalimar voyait tout se détruire même la masse noire qui se tenait devant elle. Elle gémit, puis reprit conscience. Elle était de retour dans ce monde, où les couleurs étaient elles aussi détruites. La jument releva la tête vers sa Reine. Ne sachant que dire devant un être si imposant. Elle se rappelle de ce visage, le même que celui de son Monde. Tout redevînt noir et pourtant Shalimar, était pour une fois, Heureuse. Elle avait espoir en cette Jument. Personne auparavant ne pouvait venir dans son Monde. Aïden n'acceptait pas les étrangers et pourtant il n'a rien pût faire contre elle, c'est comme si elle l'avait repoussé. Aïden énervait jeta un galet en l'air, pour montrer sa force. La mer, était calme, Shalimar se retourna est l'admirait. Elle avait les yeux qui pétillaient. Elle avait enfin de l'espoir. Elle se retourna vers sa Reine, timidement, elle avait quand même peur de sa réaction. Shalimar demanda tranquillement à son Frère de détendre l’atmosphère, à c moment là, une Onde Apaisante se dégagea de sa lumière blanche qu'elle était. Elle se détendit, elle prenait son temps. Réfléchissait avant de lui avancer ses excuses. Ce qu'elle venait de voir dans son monde l'a perturbée.

[Shalimar] Veuillez m'excuser, je faisait des Recherches.

Elle baissa la tête timidement, pourvu que les Ondes parcourent elle aussi Lune, pour qu'elle soit apaisée dans a tête. C'était l'un des pouvoirs de Shalimar. Calmer les personnes autour d'elle, par de simple penser chaleureuses. Le peu de souvenirs apaisant qu'elle avait, étaient assez puissants pour elle qu'ils fonctionnaient très bien dans la consciences des autres chevaux. C'est la première fois qu'elle utilise sur quelqu'un d'aussi proche d'elle. Habituellement elle le fais à distance pour ne pas que l'on remarque ses pouvoirs. Shalimar était gênée. Elle n'osait pas se dévoilait vers cette étrangère, qui pourtant était venu dans son Monde.

[Shalimar] Je ne veux pas vous offenser, vous avez certainement entendu un tas de rumeurs sur moi, qui sont fausses. Je pense, que vous avait une destiné. Je vous voit. J'ai vu votre Histoire. Alors ..

Shalimar connaissait son mal-être. Personne ne l'apprécier parce qu'elle a préférait la Liberté. Elle voulait lui expliquait mais elle doit s'abstenir. Elle n'était qu'une simple Jument cherchant elle aussi son destin alors elle n'a aucun conseil à donner. Shalimar essayait de faire bonne impression mais regretta ses paroles, elle préféra baisser la tête, et reperdre espoir.

[Shalimar] Je pensais bien faire ...

La jument se mise à pleurait comme une enfant, pendant que Aïden en lui, reporter la faute sur l'intrus et essayait du mieux qu'il pouvait de consoler sa sœur, il était très protecteur envers elle. Shalimar ne comprebait pas pourquoi. Pourquoi?

Dans l'Abysse:

« Sur le chemin, j'ai trouvé une fleur, Noire. »

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RP Privéft. Shalimar
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Lune observait avec attention la solitaire qui était face à elle. Elle n’avait pas eu de nombreuses occasions pour lui parler, mais en y réfléchissant bien, elle ne cherchait pas ces fameuses occasions. Non, Lune était… réellement une solitaire, qui avait un goût certain pour le calme et l’isolement qu’elle cherchait d’elle-même. Combien de fois s’était-elle éloignée des groupes, avait-elle esquivé la compagnie des autres ? Combien de fois s’était-elle tirée à la sauvette pour éviter les autres ? On ne les comptait plus, c’était monnaie courante avec la Reine. Cependant, ça ne l’empêchait pas d’être à l’écoute des siens. Elle n’avait jamais hésité à aller parler aux Dominants pour assurer la bonne entente entre les hardes et les Vagabonds, même si le plus souvent, on l’ignorait ou bien on ne prenait pas la peine d’appliquer ses demandes et on continuait d’écarter les solitaires. Triste vie pour les plus jeunes.

C’est pourquoi la Reine ne savait pas quoi penser de ce qu’elle. Il y avait ce qu’elle avait vu, soit très peu, et ce qu’elle avait entendu, ce qui n’était pas très séduisant. Certains, les plus rustres, disaient de Shalimar qu’elle était folle et qu’il valait mieux l’éviter. Lune était fidèle à elle-même et voulait se faire une idée personnelle de la jument, même si les dures paroles lui revenaient en tête. Cependant, l’état de la Blanche était inquiétant. Le sang à ses naseaux, son égarement… non, rien de tout cela ne lui plaisait beaucoup.

« Veillez m’excuser, je faisais des Recherches. »

Lune restait fermement campée sur ses positions. Le port altier, la tête relevée, les yeux presque durs et froids. Elle ne savait vraiment pas quoi lui répondre ; des recherches, voilà bien quelque chose qui n’intéressait absolument pas la Reine, au même titre que les Dieux. Alors elle ne dit rien et se tait. Souvent, c’est le mieux.

« Je ne veux pas vous offenser, » qu’ils étaient nombreux, ceux qui n’avaient jamais osé l’offenser, « vous avez certainement entendu un tas de rumeurs sur moi, qui sont fausses. Je pense, que vous avez une destinée. Je vous vois. J’ai vu votre Histoire. Alors… »

Deae Lunae se releva, dans l’esprit de la Reine, mais Lune l’étala de nouveaux au sol. Deae Lunae n’avait aucun droit d’exister. Le regard de Lune était alors presque impérieux, toisant la jument.

« Personne ne connaît mon Histoire, ni eux, ni toi Shalimar. »

La Reine était froide, dure. Elle se faisait violence lorsque l’on évoquait le passé : elle savait combien les Vagabonds haïssaient tout ce qui se rapportait aux hardes ; son nom et ses origines ne l’aiderait pas. Cependant, la jument blanche baissait déjà la tête, semblant dépitée.

« Je pensais bien faire… »

Et le voilà pleurant, laissant d’énormes larmes rouler sur ses joues. Lune est alors tellement déconcertée que pendant un instant, très bref, ses yeux s’écarquillent. Puis la Reine reprend le dessus, observe la plage de droite à gauche une seconde et baisse l’encolure à son tour. Elle rapproche ses naseaux de ceux de la Blanche malgré l’odeur du sang et colle son front au sien en soufflant doucement dans le museau de l’autre jument. Pourquoi s’était-elle mise à pleurer ? Lune l’avait-elle rabrouée trop fortement, la jument était-elle si sensible ? Lune resta ainsi sans bouger et en se taisant, jusqu’à ce que Blanche fasse quelque chose.

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As-tu assez Pajy ?

† Sur Le Chemin J'ai Trouvé Une Fleur, Noire †

Ϟ Shalimar pleura doucement un moment. Ce n'était point la faut de sa Reine, Lune. Seulement, elle repensa à ce Monde. Où personne ne pouvait venir, pourtant cette personne y était arrivait. Comment? Pourquoi? Shalimar était Accablée et Heureuse à la fois. Elle était sure que sa Reine, était quelqu'un de Bien. Elle le sait, elle s'en doute. C'est certainement pour cela qu'elle l'avait rejoint dans son monde! Shalimar gardait Espoir. Son Frère, elle elle, lui, n'appriciait pas le petit jeu de Lune. La façon dont elle lui avait parlait lui avait déplu. Pendant un instant, quelques galets se levaient comme des morts, et restaient dans l'air. Shalimar releva brusquement sa tête vers le cercle de galets qui les entouraient. Inquiète elle recula, rapidement. Elle fit le vide dans sa tête pour retrouver son frère. La colère de celui-ci ne la trompa pas, il était encore une fois furieux du Jeu des autres. Shalimar prise de folie soudaine, agitée et silencieuse. Elle ne se contenait plus. Bientôt elle allait exploser de l'intérieur à retenir tout ce chagrin. Comme pendant des années, elle essaya malgré elle de garder son calme et de persuader son frère d'arrêter les menaces envers sa Reine. Elle ne voulait pas, encore une fois, gâcher, une possible connaissance, une possible amitié, une possible Confiance. Shalimar en avait assez de devoir se battre seule, elle voulait y parvenir maintenant, à cette Victoire.
Shalimar fit un pas, en avant, avec difficulté. Malgré sa elle continuer en pleurant, En parlant à voie basse.

[Shalimar] Je peux le faire, il faut juste que j'arrête de reculer. Je suis tant navrée ma Reine.

La jument continuer de se battre en elle contre son frère et arriva bientôt en face de sa Reine. Doucement elle releva la tête, la figure ensanglantée, mais fièrement, lui touchant à son tour le front. Elle, avait réussi. Les galets retombaient tous. La jument avait un sourire fière au coin de la bouche. L'atmosphère détendue qu'elle recherchait depuis des années était enfin là. La Confiance. Doucement, épuisait, Shalimar se laissa tomber, sur le dure sol. Mais sa Joie était tellement intense que la douleur ne se fût ressentir. Le monde des Âmes l'avait emporter. Légèrement elle chuchota quelques mots.

[Shalimar] Pardon.

Un monde noir s'ouvrit dans sa tête. Son Frère lui en voulait, de l'avoir laisser seul. Si seulement sa Reine pouvait réapparaître en pleine lumière pour l'aider. Cependant Shalimar savait qu'il été mal d'emporter les Âmes dans son monde. Lune allait-elle répondre à son tour à son appel dans l'autre monde? Allait-elle tomber comme une morte sur le sol pour se retrouver aux côté de Shalimar. Une inconnue qui lui fait déjà tant confiance. La Blanche était sur le sol comme une morte, les pupil blanches, le visage ensanglanté.

Qu'allait-il advenir ?

HorsSujet:

« Sur le chemin, j'ai trouvé une fleur, Noire. »

une apparition de la bête maybe ?
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RP PRIVÉft. Shalimar
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Lune était déconcertée, inquiète et mitigée. Oui, elle réussissait à ressentir tout ça à la fois. Elle ne savait ni quoi faire, ni quoi penser, face à la jument blanche, et ne savait pas ce qu’elle avait. Elle pleurait, encore et encore, puis reculait et semblait chercher quelqu’un du regard, puis prenait peur. Lune était tout sauf rassurée. La peur et la Mort régnaient dans l’atmosphère. Que ce passait-il ? Elle savait que sur les îles, on s’inquiétait à cause des Dieux, mais tout de même ; une divinité ne prendrait jamais la peine de descendre sur l’Archipel pour les tourmenter.
Blanche s’approchait doucement d’elle, les larmes roulant sur ses joues. La Reine s’était redressée, les oreilles en avant, cherchant le regard de la douce.

« Je peux le faire, il faut juste que j’arrête de reculer. Je suis tant navrée ma Reine. »

Le sang qui s’écoulait de ses naseaux maculait la robe blanche, le poitrail de la jument était plein de ces gouttelettes de vie. Shalimar avait alors effleuré le front de sa Reine du bout du nez, un sourire fier et serein sur les lèvres. Puis elle était tombée. Son corps sur les galets froids, dans la brume matinale, dans le vent et à côté de la mer.

« Pardon. »

Shalimar ne semblait plus connectée à ce monde. Lune était d’un coup sur le qui-vive, elle stressait toute seule et frappait nerveusement les pierres avec ses antérieurs. Blanche ne bougeait plus, ses yeux semblaient révulsés, le sang coulait. Lune lui donnait alors des coups de tête dans le flanc pour la faire réagir et bouger, mais rien n’y faisait. Elle tournait autours, ses jambes battaient nerveusement le sol. Elle n’avait pas besoin qu’un Vagabond se décide à mourir sur les îles.

« Debout. »

Elle essayait tout, tout avait encore une petite chance de fonctionner.

« Lève toi. Shalimar. Debout, c’est un ordre. »

Rien ne fonctionnait. Tout était mort.

« Shalimar. Lève toi… »

Elle ne voulait pas se retrouver avec un cadavre sur les bras. La Mort commençait à empester les lieux. Faisant abstraction des pierres qui tapait contre ses genoux, ses côtes et ses flancs, la jument Noire s’était couchée aux côtés de Shalimar. Si la jument devait rejoindre le monde d’Eyghiz, qu’elle ne soit pas seule pour s’y rendre. Lune avait alors posé sa tête sur le dos de Blanche, s’étonnant encore d’avoir autant d’amitié pour la jument à qui elle n’avait jamais parlé. Elle ne voulait pas qu’elle parte dans l’autre monde, ou peut-être ne voulait-elle pas que la Mort s’approche trop près d’elle. Tout était confus dans sa tête, la Reine ne savait plus.
Shalimar était une folle pour tout le monde, dérangée, parlant à quelqu’un que personne ne voyait, qui était convaincue qu’il se passait autre chose que la réalité. Elle était peut-être folle, mais elle était avant tout une des sienne. Elle ne la laisserait pas seule.

Si la Mort devait venir, elle attendrait qu’elle prenne Shalimar aux côtés de la Blanche.

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En espérant que cela te plaise ^^
Spoiler:

[Shalimar] Vous êtes restée pour moi, alors que vous ne me connaissais point, vous avez des points communs avec moi, j'en suis sure maintenant ..

Aufaite ..

Je suis Shalimar.

[Je te propose qu'on poursuive leur relation dans un autre Rp, Shalimar la suivrait malgré qu'elle soit froide non? ]

[okidoki, j'archive ^^]

» HANA. FLEUR INVINSIBLE.
» Lune • Reine des Vagabonds
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